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Mardi 16 Décembre 2025

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Grève du Seces – Le Bacc sérieusement menacé !

Le ton est monté d’un cran, du côté d’Ankatso et les enseignants-chercheurs annoncent la couleur. Les premières victimes vont se compter par des centaines de milliers dont ceux qui vont affronter l’examen officiel du baccalauréat, mais aussi les étudiants des 6 universités publiques de Madagascar. Mais le risque d’une explosion généralisée n’est pas, non plus, à écarter, avec le délestage et les différentes revendications relatives aux dernières élections.

 

A une semaine et demie des examens du baccalauréat, qui commencent effectivement le 17 août prochain, les enseignants-chercheurs menacent de ne pas y participer. Une manière de montrer combien ils ont été déçus de se faire, encore et encore, tromper par les promesses non tenues de la ministre de l’Enseignement supérieur et des recherches scientifiques. Cette dernière d’avoir confirmé, lundi dernier, que l’engagement du gouvernement à reconnaître les indemnités non payées des enseignants-chercheurs devrait être signé une que fois le ministre des Finances et du budget est de retour à Madagascar. La signature est en effet prévue avoir lieu mardi dernier mais rien n’a été fait. Ce qui ne semble guère étonnant de la part des membres du gouvernement Ravelonarivo. Le Seces a souligné un gouvernement sourd qui bafoue délibérément son droit. De ce fait, les enseignants chercheurs dans tout Madagascar procèderont à une grève d’avertissement ce vendredi.

« Nous allons boycotter les examens si l’Etat ne parvient pas à honorer nos droits. Dans le cas où les examens auront toujours lieu malgré notre décision de ne pas y participer, les nouveaux bacheliers ne pourront pas intégrer les universités parce que les cours restent suspendus » expliquent les enseignants-chercheurs.

 

Les étudiants pour une descente dans les rues

Les étudiants sont les premières victimes de la non-prise de responsabilité du gouvernement. Les indemnités en question date de 2009 et sont fixées chaque année dans la loi de finances mais une grande partie n’a jamais été touchée par les enseignants-chercheurs. Les cours ont été suspendus depuis des semaines et les étudiants revendiquent à ce que le gouvernement trouve une solution dans les plus brefs délais. L’association pédagogique projette également de se réunir également le vendredi prochain pour prendre une décision. La descente dans les rues n’est pas à écarter si la menace d’une année blanche est maintenue. Rien ne va plus et la situation est hors maitrise et le président de la République persiste de travailler avec un gouvernement incompétent. Ce dernier qui préférait miser gros dans les propagandes des candidats du régime que d’honorer les diverses revendications pour assurer une stabilité. Les jeunes sont les plus à souffrir. Ceux en cours d’études ont été suspendus et ceux diplômés ont du mal à trouver du travail. Des faits qui ne semblent inquiéter les dirigeants trop pris par leurs intérêts respectifs et par les tentatives de contourner les résultats des élections.

 

J.L.R – Ralambomamy

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