Multipartisme, pas le seul apanage des malagasy
Il est tout de même curieux de voir dans le paysage politique français l’émergence d’un nouveau parti politique, encore que pour être nouveau ce n’est pas vraiment une primeur, celui-ci n’étant en fait composé, du moins dans ses cadres, que d’anciens briscards de la politique, des transfuges d’autres partis. Eh oui, la multiplicité des partis politiques n’est pas le seul apanage des malagasy, et les français, surtout du côté centriste, le prouvent en donnant naissance à l’Union des démocrates et indépendants (UDI), un mouvement politique né de la réflexion de Jean-Louis Borloo et d’une bonne partie du centre-droit. A bien y regarder, ce nouveau parti n’est autre que la nouvelle projection de l’ex-UDF, du moins dans ses grandes lignes. Les Malagasy, quant à eux, ont pris l’habitude de voir ces transmutations génétiques de membres de parti qui créent de nouvelles excroissances dans une «même » mouvance. Les quelque 343 partis politiques que compte la Grande île sont là pour l’attester !
En tout cas pour ce coup-ci, l’ex-ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, ambitionne de devenir à terme ou plutôt de mener l’Union des Démocrates et Indépendants (UDI) à être le premier parti de France, des ambitions sur des visées présidentielles en 2017 peut-être ? 2017 est encore loin et l’actuel président des français n’en est qu’au début de son mandat, jusque-là il y aura encore beaucoup d’eau qui passera sous le…pont. Un coup d’estoc en tout cas à l’encontre de François Bayrou, le président du Modem ! Reste à savoir si ceux, considérés comme centristes à l’UMP, seront à même de résister à cette mini-tornade de changement. A l’instar de l’UMP, la nouvelle Union des démocrates et indépendants a encore à faire ses preuves pour arriver à reprendre le dynamisme de ce dernier, peut-être devenir une vraie machine à gagner des élections, en vrai rouleau compresseur comme l’a fait l’UMP en son temps.
Quoiqu’il en soit, le paysage politique français s’est mué une nouvelle fois sans toutefois pouvoir prétendre à une quelconque innovation, vu que les … « têtes » ne changent pas trop, ils muent…
Pour sa part, la Grande île est en butte à sa particularité de « multipartisme ». On est en droit de se demander comment on pourra bien gérer ces 343 partis, ne serait-ce que dans l’accès équitable aux médias publics si par hasard le besoin se ferait sentir le moment venu, si l’envie prenait par exemple à ces partis de présenter chacun un candidat aux présidentielles ? D’ailleurs, l’obligation d’un parti politique d’avoir au minimum 200 membres au moment de sa création est déjà sujette à caution pour la plupart de ces partis, incapables d’aligner autant de membres réels en un seul congrès. Car on le sait bien, un parti a l’obligation de tenir un congrès national au moins une fois tous les 5 ans, chiche qu’il n’y aura même pas le centième qui soit capable d’en organiser convenablement !
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