Le ministre de la Sécurité publique l’a avoué : « 20% de la corruption sont éliminés ! » D’énormes efforts sont donc à fournir par ce département qui, malgré tout, tente de redorer son blason. Mais c’était sans compter sur des policiers avides de … sexe.

Cette affaire défraie la chronique et les interventions sur les réseaux sociaux sont cinglantes à l’endroit de la Police nationale. Il s’agit d’un couple qui se reposait dans un jardin dans la soirée de samedi dernier. Arrêté, le mari a été gardé à vue, c’est-à-dire mis dans une cellule, tandis que la femme a été emmenée par des policiers à Anosy. Le chantage de ces membres des forces de l’ordre était clair : se faire assassiner par une balle ou baisser sa c… et accepter les envies sexuelles de ces messieurs. Ne se laissant pas faire, la femme a quand même fini par se faire violer pas deux policiers.

Bien évidemment, la victime a porté plainte auprès de la Justice et non seulement, les internautes mais surtout aussi le simple citoyen, attendent impatiemment la suite de l’événement. Effectivement, beaucoup ne supportent plus ces abus perpétrés par les forces de l’ordre dont notamment l’EmmoReg et voilà que les policiers travaillant dans la Capitale s’y mettent aussi. Ces derniers ont toujours bénéficié du respect et de la sympathie de la population, notamment, ceux travaillant pour la circulation urbaine, et concernant les bakchichs payés ici et là, tous préfèrent détourner les yeux que de les commenter.  Mais pour le cas de ce viol perpétré, qui plus est, à « l’Anjely Mainty » d’Anosy, les citoyens se sont levés comme un seul homme et ont décrié l’acte comme une véritable insulte à l’endroit de la population.