Au bout d’une décennie d’existence, la stratégie nationale de lutte contre la corruption, élaborée entre 2004 et 2005, aborde un nouvel horizon 2015-2025. Et ce, en dépit des imperfections et parfois d’oublis flagrants comme la déclaration annuelle et obligatoire dont certaines personnalités feignent d’oublier ou d’ignorer.

Quoi qu’il en soit, à l’issue du rapport annuel du Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), une nouvelle synergie est amorcée. L’engagement personnel, à travers la signature d’un document-cadre y afférent, des membres du Gouvernement en est la première marche.

La corruption qui, dorénavant, est considérée comme un fléau à l’origine de la situation de précarité socio-économique dans lequel se débat le pays. De ce fait, s’engagent les membres du Gouvernement avec le Premier ministre comme porte-étendard, renforcer la lutte contre la corruption et confirmer le combat contre ce phénomène est la priorité des priorités.

Solo R.