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Mardi 16 Décembre 2025

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Protection des droits de l’Homme – Passer des recommandations aux actes concrets

Le débat entre dans le cadre de la semaine des Droits de l’Homme. Depuis le milieu du siècle dernier, le « cas de l’insécurité à Madagascar, et en particulier dans le grand Sud », revient cycliquement au-devant de la scène publique comme politique. En 2014-15, le régime en place fait appel aux forces armées pour mater une « situation qui prend l’allure d’une menace de démembrement du territoire national » comme en convient d’ailleurs de dire, Omer Kalamou, conseiller en Droits Humains des Nations-Unies, en poste à Antananarivo, bien que ce dernier dénonce la disproportion entre les forces en présence, hier lors de la conférence sur  »la prolifération des armes légères et insécurité à Madagascar« .

En dépit de la tonitruante déclaration des organisations de la Société Civile, en rapport à l’opération « Fahalemana » ci-dessus évoqué, le débat est loin d’être clos sur l’opportunité ou non de l’implication des forces armées au lieu des forces de sécurité intérieure comme l’a évoqué, hier, le représentant de l’Onu à l’Iep Ampandrana. Omer Kalamou qui, à son corps défendant, a donné sa perception de la situation épousant le sentiment de « dérapage » suivant les observations des organisations de la société civile. Il se réfère ainsi aux cas jugés « d’exécutions extrajudiciaires » dans le cadre dudit opération de sécurisation.

Coopération extranationale

Il propose alors quelques suggestions telles que le distinguo entre « vrais et présumés dahalo » en respect de la convention de Vienne dont Madagascar est signataire sur la nécessité de déploiement militaire, une approche holistique du cas la proportionnalité de la réponse et le principe d’humanité.
Des suggestions, certes portant sur le principe de la promotion et la protection de tous les droits de l’Homme pour tous les Malgaches mais qui ont déjà eu la réponse des gens de terrain dont la dernière en date est celle du député élu de Tsaratanana sur une chaîne locale cette semaine. Il y va d’un phénomène dépassant le simple maintien de la sécurité publique. Il relève, assure le député, d’une organisation quasi extra-étatique qui demande une réponse adéquate. Si l’on y ajoute cette prolifération exponentielle des armes aussi bien légères – donc de juridiction civile – comme lourdes  – relevant de juridiction militaire et pénale-, le phénomène dépasse le cadre juridique institutionnel national, voire international, pour interpeller une stratégie relevant de simple délit pénal et civil. Cela requiert vraiment une coopération extranationale car supposant un réseau dépassant le territoire national.

Solo R.

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