Il s’agit de la route permettant de rejoindre le haut du quartier de Soanierana, dans le quatrième arrondissement de la Capitale, à partir de la route nationale numéro 7. Suite à l’éclatement d’un mur de soutènement sur lequel s’appuie une partie de la rue en question, la circulation devient impraticable. Pour l’heure, les responsables actuels de la Commune urbaine d’Antananarivo n’ont pas encore daigné s’enquérir du problème et même pas, un constat visuel. Bien sûr, il s’agit bien d’une route communale dont, en principe, l’entretien et la réhabilitation reviennent tout à fait à cette institution. Mais comme on a l’habitude d’entendre ces dernières semaines, Lalao Ravalomanana, relayée par sa … « directrice » de la communication – en passant, cette direction n’existe pas dans l’organigramme actuel de la Cua, en d’autres termes et ailleurs, on appelle cela : usurpation de fonction et donc pénalement répréhensible -, va encore jeter les responsabilités sur une quelconque structure étatique.

En tout cas, pour rejoindre la caserne du régiment du Capsat, celui du 1^er Rts de Fiadanana, ou encore pour les élèves du Collège Sainte Chantale, sinon pour passer de l’autre côté à Tsimbazaza et Ankaditoho Maroroho, il faut faire le tour jusqu’à Ankadimbahoaka et subir ainsi plus d’une heure d’embouteillage chaque jour. Sinon, il existe toujours des téméraires où tout conseil ne les concerne pas, et dans ce cas, il ne faut attendre aucune aide de la part des riverains.
Dans la Capitale, plusieurs routes se trouvent dans ce même état et si on ne prend qu’un autre exemple, il est fortement déconseillé de prendre la route en pavé près du Cite Ambatonakanga. Sinon, émotion garantie, il faut s’attendre à tout d’autant que cette rue est en forte pente.

J.L.R