Rapport Doing Business – L’évolution de la situation malagasy
Pour établir le rapport « Doing Business », la Banque mondiale, plus précisément la Société Financière Internationale ou SFI (IFC, en anglais) tient compte de 10 indicateurs déterminés par plusieurs composantes. Ces 10 indices sont : la création d’entreprises, la protection des investisseurs, le paiement des impôts, le commerce transfrontalier, l’octroi de permis de construire, le raccordement à l’électricité, le transfert de propriété, l’obtention de prêt, l’exécution des contrats et la fermeture des entreprises. Ces 10 indices susvisés englobent le cycle de vie d’une entreprise : de sa création jusqu’à sa fermeture. Et c’est ce qui accorde plus de fiabilité aux données du rapport « Doing-Business ».
La SFI a sorti le premier rapport en 2003 dans le but d’améliorer l’environnement mondial des affaires en stimulant la « compétition » entre plusieurs économies mondiales. Par conséquent, la SFI souhaite étendre l’objet du rapport à tous les pays du globe. Mais, faute de données suffisantes, et à cause de plusieurs autres facteurs, notamment la crise financière mondiale, l’indisponibilité des techniciens venant du pays concerné : la SFI essaie d’opérer progressivement cette extension. Ainsi, le rapport couvre actuellement 183 pays contre 133 au début. Pour la Grande île, la situation est très variée, puisqu’il s’est situé au 151ème rang sur 178 en 2008, au 144ème sur 181 en 2009, au 134ème sur 183 en 2010, au 140ème sur 183 en 2011, puis au 137ème sur 183 en 2012. Dons au cours de ces 5 dernières années, le pays demeure toujours dans les 40 derniers pays.
De 2008 à 2010
Le grand progrès de l’île, entre 2008 et 2010, s’explique par le fait qu’il s’est engagé à faciliter la pratique des affaires à travers 5 secteurs sur les 10 considérés par le rapport. En effet, le pays a amélioré le domaine de la « création d’entreprise » en abaissant progressivement la valeur du capital minimum exigé et en réduisant de même les coûts liés à cette création d’entreprise. De plus, de 2008 à 2010, le coût lié à l’octroi de permis de construire était réduit de 20%. Donc, la création et l’établissement sur le territoire a été facilité pour les investisseurs afin d’accroître leur nombre. Ensuite, le taux des impôts à payer a été réduit. Et c’est à ce point que la politique malgache se distingue de celle de l’île Maurice. Et puis, le pays a fortement réduit les délais pour accomplir toutes les procédures nécessaires à l’importation et à l’exportation. Alors, le commerce transfrontalier a été encouragé afin de générer plus de droits et taxes au profit de l’Etat-hôte qu’est la Grande île. Enfin, le taux de recouvrement de créances, en cas d’insolvabilité a été réduit. Cela signifie qu’il y a plus de chance pour les investisseurs, en situation d’insolvabilité de bénéficier à nouveau d’un découvert ou d’un préfinancement auprès des institutions financières. Donc, cela assure plus de viabilité à l’investissement.
Il en résulte ainsi que toutes ces réformes engagées ont permis au pays de gagner 17 places entre 2008 net 2010.
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