Les vieux s’y cassent les dents, les jeunots s’y font …secouer
Les pays d’Afrique détiennent sans conteste les records de longévité pour ses dirigeants. Exception faite pour les monarques qui ont su survivre à la colonisation et aux différentes révolutions, les dirigeants qui ont pu résister des décennies durant ont été emportés par ce vent du changement qui a soufflé en tourbillon à travers le continent noir, n’épargnant pas les vieux caïmans qui se sont agrippés à qui mieux mieux au pouvoir sans y arriver finalement. Madagascar a été parmi les premiers à expérimenter cet état de chose, un pionner en quelque sorte avec l’éviction de l’Amiral rouge du pouvoir par deux fois. L’Egypte et la Tunisie ont essuyé le raz de marrée en un temps record, sacré printemps arabe … On le sait, la Côte d’Ivoire s’est mise également à s’y atteler non sans peine, avec des morts en pagaille, souffrant dans ses entrailles. La Libye s’est embourbée dans une révolution anti-Kadhafi, soutenue par l’occident depuis les « airs », se terminant par la mort du leader libyen qui s’est accroché comme une teigne mettant à mal son pays avec les bombardements des forces de l’OTAN. Plus près encore, le président sénégalais, Abdoulaye Wade, a été évincé « à la loyale » par les sénégalais bien qu’il ait tenté d’adouber son fils comme étant son successeur attitré avant le jugement des urnes, peines perdues !
Il faut reconnaître que la plupart de ces présidents africains avaient pris le pouvoir ou ont été élus dans des circonstances qui ont soulevé des doutes, d’autres n’ont même pas été élus mais se sont maintenus par la force avec la véhémence qu’on leur connaissait, et pourtant, ils ont en commun le fait d’avoir perduré et pire encore de s’agripper au pouvoir. Le plus souvent, on les reproche de s’être enrichis en pillant et dilapidant les richesses de leurs pays, au détriment de leurs peuples. Des traits communs qui les ont sûrement classé dans un « club fermé » et « select » de présidents despotes qui pouvaient et devaient se soutenir mutuellement en cas de pépin. Mais le fil les unissant s’étant cassé, ceux qui n’avaient pas les reins assez solides dans leurs pays se sont fait éjecter.
Mais maintenant, qu’en est-il de leurs remplaçants ? En Tunisie, des manifestants ont jeté des pierres lundi contre le chef de l’Etat tunisien Moncef Marzouki et le président du Parlement Mustapha Ben Jaafar à Sidi Bouzid, lors de la célébration du deuxième anniversaire du début de la révolution tunisienne. Pas de quoi ménager une longévité à toute épreuve comme auparavant ! En tout cas, on est bien loin de ce qui se passe dans une autre partie du globe, un peu plus au nord de l’Afrique, en Syrie, où le pouvoir dynastique des Assad est sérieusement mis à mal, malgré que le rejeton Assad s’évertue à s’agripper à tout prix au pouvoir ; la population syrienne payant le plus lourd tribut dans cette lutte de pouvoir qui s’éternise. Ah, ce pouvoir qui arrive à corrompre quiconque parvient à le détenir…
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