Madame le Secrétaire général de l’OIF (alias-Francophonie) est venue, a vu et vécu pour quarante huit heures à Antananarivo. Outre son « constat » de la détermination d’accueillir le XVIème sommet de la Francophonie, elle « s’est déclarée impressionnée par la qualité du tissu social à Madagascar, et tout particulièrement la jeunesse, dans toutes ses composantes, qu’elle a qualifiée de talentueuse et créatrice, mais également engagée sur des questions d’ordre mondial telles que le climat ».

Enfonçant un peu plus le clou elle « a aussi relevé une telle attitude au niveau des enfants, à travers le centre de lecture et d’animation culturelle, à Antananarivo, et bénéficiant de l’appui de l’OIF, ce genre de centre sera bientôt au nombre de 28 dans toute l’île ».

Enfin, pourrait-on dire une reconnaissance, voire une vue de l’extérieur sur l’état de la jeunesse dans le pays. Une appréciation que l’on peut dire de « première classe » car émanant d’un personnage de premier plan mondial. Et à moins d’un langage diplomatique trop poussé afin de brosser dans le sens des poils le pouvoir en place, peut se fier à la justesse d’un regard neuf.

Solo R.