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Mardi 16 Décembre 2025

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L’Afrique subsaharienne et ses tares …

Les pays africains n’arrivent pas à se débarrasser du spectre de « crises à répétition ». Que ce soit pour les pays d’Afrique du Nord ou d’autres plus méridionaux, on dirait qu’une fois débarrassé du joug du colonialisme – encore que jusqu’ici rien ne prouve que ce soit vraiment le cas – ces derniers sombrent petit à petit dans les méandres des crises politiques incessantes. Personne n’a échappé à compter des années 90, que ce soit des pays dits « francophones » ou des pays « anglophones » voire « lusophones ». On peut tout de même remarquer une certaine différence entre les pays d’Afrique subsaharienne et ceux de l’Afrique du Nord. Pour ces derniers, les protagonistes sont certes divisés mais pour le peuple, et les observateurs extérieurs aussi d’ailleurs, l’antagonisme est plus cornélien. Pour l’Afrique noire en général, les crises et les conflits sont d’origines multiples et diverses avec moult factions de dissension.
La résolution des crises dans les pays de l’Afrique subsaharienne prend du temps, coûte de l’argent et occasionne des pertes en vies humaines. Le Soudan, la Somalie, la Guinée, le Gabon, le Rwanda, pour ne citer que ceux- là, ont tous eu du mal à se départir des maux qui les ont rongés depuis plus d’une décennie. Si on se tourne vers les pays de l’Afrique du nord, on voit bien une nette différence, loin d’être en terre « démocratique » on sent tout de même que pour eux si crise il y a, le choix est plutôt binaire: en Egypte, grosso modo, tout se ramène pour l’instant aux anti-Morsi et pro-Morsi – islamistes- tout simplement, un semblant d’alternance au pouvoir peut donc s’y produire, éphémère ou pas mais alternance quand même, que ce soit démocratique ou dictatoriale, au moins là communauté internationale n’y fourre pas trop son nez, tout se dissout et se dissipe en un clin d’œil.
En Tunisie, le pouvoir repose sur une alliance des islamistes avec le président de la République, Moncef Marzouki, et le président de l’Assemblée constituante, Moustapha Ben Jaafar, tous deux de partis laïcs. Une alliance nette mais qui suscite toujours une opposition farouche de la part du  Nida Tounès, le principal parti d’opposition créé il y a un an. Là encore, cette mante religieuse de communauté internationale n’y trouve rien à y redire, du moins pour le moment. 
Alors, les pays d’Afrique subsaharienne sont-ils condamnés à subir le courroux des hydres aux multiples têtes qui les bouffent jusqu’à l’os? Il faut croire que oui, car incapables de se contenir leurs appétits respectifs, les multiples factions, les multiples intérêts boostés par les multinationaux tirant facilement dans les pattes, s’entredéchirent sans ménagement. L’Afrique subsaharienne est condamnée à errer dans les méandres des dissensions et autres divisions qui ne les favorisent nullement, seuls les multinationaux qui y ont des intérêts, et qui y lorgnent, y trouvent du profit, c’est malheureux mais c’est en général ce qui s’y passe …

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