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Samedi 13 Décembre 2025

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Exposition – Chefs-d’œuvre d’Afrique dans les collections du musée Dapper

Le musée Dapper propose aux visiteurs différents types de parcours guidés qui permettent de mieux appréhender les contextes d’utilisation des objets africains. A partir du 30 septembre prochain et jusqu’en 2017, Chefs-d’œuvre d’Afrique y seront exposés. Michel Leveau a quitté ce monde en novembre 2012 après avoir rempli la mission qu’il avait initiée il y a un peu plus de trente ans en créant la Fondation Dapper. Esthète, mais guidé par la rigueur scientifique, il s’était attaché à acquérir pour son institution des œuvres exceptionnelles. Certaines d’entre elles avaient appartenu à de grands noms qui ont marqué la reconnaissance des arts non-occidentaux comme Charles Ratton, Tristan Tzara, Paul Guillaume. Son but était de contribuer à une meilleure connaissance des arts traditionnels de l’Afrique subsaharienne et de sensibiliser un large public. Le fonds du musée Dapper se caractérise par la diversité des provenances géographiques et par l’ancienneté. L’exposition, qui comprend quelque 130 pièces, présente des œuvres majeures. Certaines sont uniques et n’ont aucun équivalent dans le monde. Il y a par exemple des sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu…), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou encore du Mali (Dogon, Soninke). Attendu depuis des années par le public, Chefs-d’oeuvre d’Afrique permettra aux visiteurs de découvrir des pièces maîtresses qui puisent leurs significations dans les cultures de l’Afrique centrale ou dans celles de l’Afrique de l’Ouest.

Les œuvres racontent la vie

Les pièces exposées ont été sélectionnées en raison de leurs qualités plastiques, mais aussi pour les rôles qu’elles assurent dans les sociétés qui les ont vues naître. En effet, masques, statues, statuettes, autels, parures, armes et bien d’autres artefacts sont liés à des pratiques et des savoirs spécifiques. Leurs fonctions sont multiples. Certains objets étaient utilisés dans le cadre des initiations, celles des adolescents ou celles des hommes mûrs devant développer leurs connaissances ésotériques et/ou techniques. D’autres, intervenaient lors de cultes destinés à rendre hommage aux ancêtres, à assurer la fécondité des femmes, la fertilité des terres ou à soigner. L’exposition intègre une section intitulée « Afrique plurielle » qui ouvre sur le monde contemporain. À travers des montages de photos et de vidéos, cette création d’Aurélie Leveau interroge quelques actes et comportements qui traduisent des modes de pensées, des façons de vivre et de forger des identités. Ces pratiques se veulent « originales ».

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