Vous êtes ici :

Lundi 06 Mai 2024

ombre

Salon des études en France – Plus de 6000 visiteurs en 2 jours

Les études sont dit-on la base d’un avenir meilleur. C’est pourquoi, face au climat léthargique dans lequel la formation professionnelle et  universitaire à Madagascar est placée, les jeunes ont tendance à chercher une échappatoire vers les pays développés, et quoi de mieux que la France ? 

Sur le thème « de l’Orientation à l’insertion professionnelle », la 2ème édition du salon des études en France s’est déroulée les 2 et 3 février 2017 à l’Alliance française d’Antananarivo. Lors de ce rendez-vous, deux objectifs principaux ont été mis en place. Il s’agissait tout d’abord d’offrir un panorama complet des formations françaises disponibles en France-métropole, dans l’océan Indien telles que les formations délocalisées mais aussi à Madagascar à travers l’enseignement à distance, les accords de coopération, ou le réseau Aefe. Ensuite, le but était également de proposer une gamme d’activités permettant conseil et accompagnement dès l’orientation jusqu’à l’insertion professionnelle. Cette manifestation était destinée aux étudiants, aux lycéens mais également aux parents et professeurs. Et durant l’évènement, plus de 6 000 visiteurs, contre 1500 l’année dernière, tous niveaux et toutes filières confondues ont répondu présent à ces deux journées. A travers ce nombre étourdissant de visiteurs, il y a eu 100 entretiens-conseils avec des Drh pour les recherches de stage ou job étudiant, 1000 participants aux conférences : « Étudier en France avec un bac malgache », « Distinguer les différentes offres de formations »,  » Réussir un concours d’entrée aux grandes écoles ». Des chiffres qui ont de quoi prouvé que les jeunes malagasy ont soif d’enseignement et d’opportunité qui n’existent pas à Madagascar ou de moindre qualité.

Obtention du visa

Malgré ce salon, la question la plus épineuse sur la poursuite des études à l’étranger, et plus particulièrement en France porte sur l’obtention du visa. En effet, les jeunes étudiants sont plus préoccupés par la recherche des moyens de subsistance arrivé là-bas que par leurs capacités à satisfaire aux études qu’ils mèneront. Il est vrai qu’un ménage moyen est loin de pouvoir satisfaire l’envoi de 700 euros par mois au minimum à leurs enfants lorsque ceux-ci s’avèrent ne pas être des boursiers, situation de la grande majorité des cas. Pourtant, beaucoup méritent de partir mais faute de moyen, ils sont contraient de rester au pays. D’un autre côté, bien que lors de leurs demandes de visa, les étudiants sont tenus de faire une lettre d’engagement de retour au pays, nombre d’entre eux ne reviennent plus au pays. Une action normale dans la mesure où le climat national n’offre pas de perspectives d’avenir satisfaisante. Ce qui au final, engendre les « fuites de cerveaux » au bénéfice, toujours du pays d’accueil.

Seheno Kely

image

Misalovana ny andraikitry ny hafa

Anisan’ny fositra tsy mampandroso ny firenena ny fisian’ny sokajin’olona misalovana ny andraikitry ny hafa. Hita misongadina izany eo amin’ny sehatra rehetra. Ny fampahalalam-baovao no anisan’ny lasibatra voalohany amin’izany. Te ho

Lire la suite

image

Mais avant tout ça ?

La découverte d'un nouveau système planétaire par la Nasa fascine le monde scientifique. Sept exoplanètes de taille comparable à la Terre tournent autour d'une petite étoile à près de 40

Lire la suite

image

Fanafihana tao Antanety - Vely famaky no nahazo ilay renim-pianakaviana

Nisehoana fanafihana mahatsiravina tao amin’ny fokontany Antanety ao amin’ny kaominina Ampanotokana ny talata lasa teo. Renim-pianakaviana no nokapain’ireo jiolahy ny famaky.  Toerana anisan’ny anjakan’ny vono olona sy vaky trano raha iny

Lire la suite

ombre