L’étude de finalisation du projet de terrain synthétique baptisé « Projet Challenger »  est toujours en stand by. 

Un projet que la Fédération internationale de football (FIFA) a offert aux fédérations nationales moins privilégiées. Les exigences de l’entité internationale du foot, qui offre ce tapis gratuitement à la Grande île, sont compréhensibles. Des experts ont  été déjà dépêchés, à Madagascar deux fois depuis 2013, pour examiner les infrastructures locales et la faisabilité du projet.  Et deux fois, le projet a été arrêté par décision de l’Etat central. Autrement dit, le blocage ne reste plus entre le rugby et le football ou  avec la Commune urbaine d’Antananarivo ou encore moins du ministère de la Jeunesse et des sports.  Si cela ne vient d’aucune des instances susmentionnées, bien évidemment  le blocage ne proviendrait que de la plus haute instance. La présidence peut-être.  La FIFA  était même d’accord d’installer une pelouse dont la particularité sera la possibilité d’accueillir des matchs de football et de rugby. Le projet est toujours remis à plat.  Der des ders, la FIFA lance une dernière chance à Madagascar. Si aucune décision n’est prise d’ici la fin du mois courant, l’instance internationale menace de retirer le projet.

E.F